Lundi 11 juin 2007 à 21:49

A midi Papa a été méchant avec moi j'en avais marre marre marre. Même que je lui ai répondu. Faut pas, hein, mais c'était plus FORT que moi.
J'ai passé l'après-midi à attendre Maman qui est arrivée à 18h44 et on a été à la "nouvelle maison" qu'ils restaurent depuis un graaand moment.
J'ai trouvé trois trèfles à quatre feuilles. J'en ai quatre en tout. Dites-moi que c'est bon signe.
Puis au fur et à mesure que le jour baissait, le grand jardin libérait ses senteurs. La terre chaude. La camomille. La verveine. La citronelle. C'était une senteur merveilleuse, qui sent le temps qui s'attarde, mais cette odeur était presque moite, étouffante.
On a récupéré un vaisselier des années 60 ou 70, que Papamaman avaient dans leur cuisine quand ils se sont mariés, il est kitch. Je vais le décaper et le repeindre. Il s'ra beau et je l'aurai dans mon appart. Je pourrai alors dire "c'est moi qui l'ai fait!" .

Dimanche 10 juin 2007 à 22:32



à chier.



Samedi 9 juin 2007 à 19:21


Aujourd'hui c'était piscine. Monoï. Lunettes mouches. Bouquin.
Et j'ai trouvé par hasard un trèfle à quatre feuilles.

Une amie de Maman m'a dit que j'étais belle belle belle. Et que je devais profiter et arrêter de trop me poser de questions.
Je peux voir à la marque laissée par mon ruban Petit Bateau que j'ai beaucoup bronzé.

Ce soir c'est grillades. Et cockails.


J'ai attrapé un coup d'soleil (un coup d'amour un coup d'je t'aime) sur le décolleté. J'aimerais sa bouche dessus pour calmer la brûlure. Mais je crois que ses lèvres ne feraient qu'attiser la chaleur...
Par rapport au reste de mon corps, mes seins sont deux pommes blanches.



Vendredi 8 juin 2007 à 18:37

" C'est l'été, la saison des amours.
Qu'elles soient fusionnelles, passionnelles ou sereines, si ces amours sont vraies, elles dureront toujours, mais ne laisseront pas indemnes les coeurs qui se piquent à leurs jeux.
Les mauvais joueurs, les pisse-froid et les losers n'ont qu'à bien se tenir car, dans ce jeu de hasard, il n'y a de place ni pour les amants à la petite semaine ni pour les aigris, ni pour les pleutres.
Bergson ne m'aurait pas démenti. Si, comme il le disait, "
la comédie est un jeu qui imite la vie", il est clair que l'amour en est un qui imite la mort.
Lugubre? Tout le contraire.
C'est le coeur léger qu'il faut envisager les choses.
Libres de toutes craintes et de tout pathos, jouons le jeu.
N'ayons pas peur d'aimer. "

KAPPAUF.
( Citizen K, Eté 2007)

Jeudi 7 juin 2007 à 19:16

Quelques mots. Aujourd'hui...

Petit déjeuner sur la terrasse. Douceur et lenteur du matin. Tartines. Fruits. Livres.
Soleil. Maillot. Robe. Aurélie. Monoï. Soleil. Peau brûlante.
Soif. Mal de tête. Joues rouges.

Ca sent les vacances...?

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