Parfois, la fiction prend le dessus sur la réalité.
De pauvres gens se prennent pour des cowboys et se font justice eux-mêmes. Une soirée à valser entre la gendarmerie et l'hôpital, greffée au téléphone, à ressasser les faits, sans cesse, se sentir impuissante, désemparée et nue.
Ce soir, je sais que notre sécurité est fragile, et j'ai le sentiment que comme ils sont repartis libres, ils pourront frapper n'importe quand, n'importe où.
Dimanche 8 mars 2009 à 0:14
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