Tout à l'heure, ça sera un stéthoscope trop froid dans mon dos et des mains inconnues qui palperont ma gorge et mes aisselles et même mon aine. Et peut-être même une prise de sang.
J'aime pas être malade pendant un mois, j'aime pas avoir de la température, j'aime pas avoir une infection. Et j'aime encore moins quand c'est un médecin inconnu qui m'examine sous toutes les coutures.
Mercredi 15 octobre 2008 à 15:24
Dimanche 21 septembre 2008 à 22:11
Je prépare mon sac pour venir m'envoler dans tes draps.
Et je me rends compte que pour me sentir jolie, je n'ai besoin que de trois choses.
Adieu mascara, blush et rouge à lèvre.
Seulement tes yeux, ta bouche et tes bras.
Et je me rends compte que pour me sentir jolie, je n'ai besoin que de trois choses.
Adieu mascara, blush et rouge à lèvre.
Seulement tes yeux, ta bouche et tes bras.
Vendredi 19 septembre 2008 à 12:36
Chéri, amène-moi danser ce soir.
S'il te plaît.
S'il te plaît.
Lundi 15 septembre 2008 à 10:32
La rentrée, c'est tout un concept. Superficiellement parlant, évidemment. Fille ou garçon, je ne pense pas trop me tromper en imaginant que chacun modèle à l'infini sa tenue dans sa tête. C'est en fait la première impression que les autres auront de nous. Tels des benêts, nous nous jaugeons au premier regard.
Mais la rentrée, c'est aussi l'excitation de retrouver un semblant de routine. L'horaire plus ou moins régulier des cours. Les devoirs. La bibliothèque. Les pauses. Les questions existentielles telles que
« je sèche ou je sèche pas ?»
La rentrée, en troisième année de fac, c'est commencer à être un peu grand. On est plus des freshmen, ni des sophomores. On est des juniors. Lors de la rentrée en fac, on se noie dans un amphi de presque cinq cent élèves et alors on devient anonyme. On cherche à se rassurer, alors on sonde les rangs à la recherche d'un visage connu, d'une tête un peu moins nouvelle que les autres.
La rentrée, c'est bien, en fait.
Surtout quand le prof ne vient pas, comme ce matin.
Mais la rentrée, c'est aussi l'excitation de retrouver un semblant de routine. L'horaire plus ou moins régulier des cours. Les devoirs. La bibliothèque. Les pauses. Les questions existentielles telles que
« je sèche ou je sèche pas ?»
La rentrée, en troisième année de fac, c'est commencer à être un peu grand. On est plus des freshmen, ni des sophomores. On est des juniors. Lors de la rentrée en fac, on se noie dans un amphi de presque cinq cent élèves et alors on devient anonyme. On cherche à se rassurer, alors on sonde les rangs à la recherche d'un visage connu, d'une tête un peu moins nouvelle que les autres.
La rentrée, c'est bien, en fait.
Surtout quand le prof ne vient pas, comme ce matin.
